Cédric Perres, président de l’Udimec
Cédric Perres, directeur général de Sames, a été nommé président du syndicat professionnel, le 27 juin dernier. Il succède à Laurent Pélissier, président du groupe ECM.
L’Udimec, membre de l’UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie), rassemble plus de 600 entreprises industrielles de l’Isère et des Hautes-Alpes, représentant 50 000 salariés. Aux côtés de 500 PME, l’union d’entrepreneurs fédère de grands groupes et des ETI de notoriété mondiale, tels que ARaymond, BD, Alstom Hydro, Caterpillar, Radiall, Soitec, STMicroelectronics, Schneider Electric, en région grenobloise. Membre du conseil d’administration de l’Udimec à partir de 2013, Cédric Perres occupe depuis 2009 la direction générale de Sames. La société, filiale du groupe familial français Exel Industries, est un leader international des solutions de pulvérisation pour l’industrie, dont le siège social est basé à Meylan (CA : 250 M€ ; 1 000 salariés environ présents dans 27 pays, 106 familles de brevets).
Fort d’une expérience internationale multidisciplinaire dans l’industrie, Cédric Perres a occupé des postes de direction en Europe, Amérique latine, Asie et USA. Il s’est investi dans l’écosystème local au sein de plusieurs organisations (Inovallée, Réseau Isère Entreprendre, APM…). Parmi ses priorités : maintenir excellence et efficacité des services aux 600 adhérents, renforcer le pôle formation, notamment sur l’alternance et la proximité avec les entreprises, soutenir le développement des solutions d’accompagnement financier, y compris à l’international, avec Somudimec. « Nous sommes capables, avec notre équipe de permanents, de fournir un maillage fin de services et d’expertises auprès des entreprises, du Nord-Isère à Grenoble et jusqu’aux territoires ruraux des Hautes-Alpes. Nos adhérents, petits et grands, savent qu’ils peuvent compter en toutes circonstances sur ce réseau professionnel de leur territoire. Je m’inscris dans la continuité de mes prédécesseurs, avec la conviction qu’il n’y a pas d’économie forte sans industrie forte. Mais pas non plus de performance économique sans performance sociale ! ».
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