Les principales structures d’accompagnement à l'innovation
Les campus d’innovation
• Giant (information et communication, énergies renouvelables, santé), comprenant sept centres d’excellence académiques et techniques, et les établissements d’enseignement supérieur (GEM, Grenoble INP, Université Grenoble Alpes).
• Minatec (micro et nanotechnologies).
La recherche
• MaiMoSine (Maison de la Modélisation et de la Simulation, Nanosciences et Environnement), est une structure fédérative de recherche universitaire commune à Grenoble INP et l’UGA. Sa mission principale est de servir d’interface entre les PME, les industries et l’Université. Un financement Bpifrance Simseo vient en outre soutenir les projets.
• CEA et ses instituts : Leti (micro et nanotechnologies), Liten (énergies nouvelles et nanomatériaux), List (systèmes numériques intelligents).
• CEA Tech (industrie).
• IRT Nanoelec, NanoBio (micro et nanotechnologies appliquées aux sciences du vivant), Clinatec(biomédical).
• PILSI, Pôle international d’innovation pour les logiciels et systèmes intelligents, rassemblant 13 laboratoires de recherche publique (dont l’Inserm, le CNRS, l’Inria, l’INRA, l’ESRF, l’EMBL, l’EMFL…), une quinzaine de centres de R&D privés…
Les pôles de compétitivité et d’excellence
• Minalogic, pôle de compétitivité mondial des technologies du numérique.
• Tenerrdis, pôle de compétitivité de la transition énergétique.
• French Tech in the Alps Grenoble (Digital Grenoble), accélérateur de projets.
Les clusters régionaux et internationaux
Une dizaine de clusters sont soutenus par la Région Auvergne-Rhône-Alpes (Aérospace, Automotive, Eco-énergies, Edit, Sporaltec…).
Ils visent à fédérer les acteurs d’un même secteur d’activité, organiser l’offre et faire émerger des dynamiques collectives afin d’accroître la compétitivité des entreprises. L’interclustering consiste en la mise en réseau de clusters et pôles de compétitivité locaux avec leurs équivalents étrangers (États-Unis, Japon, Europe).
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