L’avenir s’emballe pour Weepack

Le secret a été bien gardé pendant plusieurs mois. Et c’est donc le nom de Weepack qui vient d’être révélé aux collaborateurs, clients et fournisseurs de l’entreprise. Une page qui se tourne pour cette PME historique de Saint-Marcellin, créée après la seconde guerre mondiale par un certain Albert Cotte, scieur de son état, à qui Merlin Gerin proposa un jour de fabriquer des caisses en bois pour le transport de ses appareils… Aujourd’hui, Weepack travaille non seulement le bois, mais aussi le carton et les mousses spéciales pour offrir des solutions sur mesure adaptées à la protection et la valorisation des produits les plus sensibles. “Nous nous adressons aux entreprises de toutes tailles et de tous secteurs, spécialement l’électronique, la défense, l’aéronautique et le médical”, confirme Jacques Grégoire, président de Weepack depuis 2010.

Un bureau d’études et une plateforme

Et c’est pour ses clients fidèles et à venir que l’entreprise, certifiée ISO 9001 et 14001, vient d’investir dans de nouvelles machines, qui confortent notamment le pôle numérique de découpe. Près de 200 k€ au total, dans une usine repensée pour gagner encore en productivité. Engagée au plus près des besoins du client, Weepack mise aussi sur un bureau d’études doté des derniers logiciels. Il permet de s’intégrer dès l’élaboration du cahier des charges et jusqu’à la réalisation en série des conditionnements, en passant par une pré-étude 3D et l’évaluation complète des coûts. Enfin, l’entreprise vient de faire l’acquisition d’une plateforme de 2 000 m2 à Saint-Égrève, afin d’optimiser la livraison et le stockage des produits pour le compte de ses clients. Autant de changements qui mobilisent l’énergie des collaborateurs. “Cette nouvelle étape est décisive pour les futurs succès de Weepack. Elle n’aurait pas été franchie sans l’implication de nos équipes”, témoigne Jacques Grégoire.
R. Gonzalez

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