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La société meylanaise AIM (Applications industrielles de microprocesseurs) spécialisée depuis 40 ans dans les systèmes embarqués destinés aux acteurs industriels (CA 2015 : 690 k€, 11 personnes) lance un nouveau cycle de formations ciblées. Ces modules standard ou conçus sur mesure s’adressent aux développeurs de microcontrôleurs de STMicroelectronics (STM32). Les formations d’un à trois jours, à haute valeur ajoutée, sont assurées par une équipe d’ingénieurs expérimentés.

Spécialiste du traitement de flux en France, Tessi prend le contrôle à 100 % de l’acteur majeur de la cybersécurité Dhimyotis, basé à Villeneuve-d’Ascq, afin d’enrichir sa chaîne de valeur. Éditeur de solutions d’authentification, de cryptographie, de chiffrement, de signature électronique et d’horodatage, Dhimyotis s’impose comme le prestataire de services de confiance sur le marché très porteur de la cybersécurité. Il a réalisé en 2016 un chiffre d’affaires de près de 1 M€et emploie 20 personnes.

IncubaGEM, l’incubateur de start-up de Grenoble École de Management, s’est installé dans l’espace Cowork In Grenoble, au sein du Totem de French Tech in the Alps, boulevard Maréchal-Lyautey, à Grenoble. Les étudiants et jeunes diplômés sélectionnés sont accompagnés sur une période pouvant aller jusqu’à 18 mois par une cinquantaine d’experts et une vingtaine de mentors. L’incubateur compte actuellement 60 start-up, dont les dernières Motorsat, Pimpon, Nos papilles et My very first watch.

Le marché de la colocation est en plein essor. Partant de ce constat, Wattamate a développé un site pour faciliter la recherche de colocataires : il rapproche les personnes désirant partager un logement par l’intermédiaire d’une plateforme de matching et les accompagne au quotidien grâce à un ensemble d’outils et de services. Les agences immobilières peuvent quant à elles y déposer leurs annonces. Fondée en 2016 par Morgan Melchilsen, Alain Floret et Stéphane Lotito, la start-up implantée à Montbonnot se veut le réseau social de la colocation.

Le promoteur échirollois a lancé la commercialisation du programme de bureaux Belledonne, à Montbonnot- Saint-Martin, au cœur d’Inovallée. Cet immeuble en R+2 de 2 400 m_²  proposera des plateaux de 800 m^₂ divisibles par lots de 200 m^₂, avec une surface de stationnement d’un parking pour 30 m^₂ de bureaux loués. L’ensemble, d’une performance énergétique à RT 2012 –20 %, disposera de la fibre optique et de services mutualisés. Si sa livraison est prévue en juin 2018, la société MathWorks a d’ores et déjà signé un bail en état futur d’achèvement avec Ferrier Associés. L’éditeur mondial de logiciels de calcul technique pour les ingénieurs et les scientifiques (produits Matlab et Simulink) a en effet choisi d’occuper un plateau entier de 800 m^₂ au niveau supérieur du bâtiment. L’implantation de l’immeuble devrait bénéficier de la dynamique de l’Atelier numérique proche et des entreprises environnantes telles que Schneider Electric, Probayes, Capgemini et l’INRIA.

L’application de livraison de repas à domicile, Uber Eats, s’est déployée à Grenoble après sept autres villes en France. Une trentaine de restaurants partenaires ont déjà répondu présents, tels Sushi Shop, Häagen Dazs, Emily’s Diner ou encore le “bistrot chic” Le Seize.

La jeune entreprise Stager & Check a ouvert à Grenoble en septembre. Éloïse Touchard, sa fondatrice, a démarré avec succès à L’Alpe d’Huez, avec un service de conciergerie. Elle propose des solutions de location de biens pour les particuliers, et de locaux commerciaux pour les professionnels. Outre la gestion de biens de courte durée, elle offre un ensemble de services (états des lieux, ménage, blanchisserie, mais aussi décoration du bien en location par exemple). À Grenoble, elle se lance également dans la location d’espaces éphémères. De plus en plus de commerçants ont besoin de locaux temporaires du fait du développement des pop-up stores, mais aussi pour démarrer leur activité en attendant de trouver un local adapté. Espace vacant, bar inexploité en journée, hôtel particulier, galerie d’art… Stager & Check détecte les espaces disponibles pour les proposer à la location éphémère.

Le club de rugby de Grenoble a ouvert, cet été, une nouvelle boutique place Victor-Hugo, à Grenoble. Basée précédemment au Stade des Alpes, elle permet au FCG d’être placé en cœur de ville et de toucher un plus large public. Le magasin propose des articles de prêt-à-porter aux couleurs du club, accessoires, ballons et toute la panoplie du parfait supporter. Il complète la boutique en ligne et assure également la vente des places de matches et abonnements.

Lancée il y a un an et présente dans plus de 30 villes en France, Too Good To Go est arrivée sur Grenoble en avril. Le principe ? La lutte contre le gaspillage alimentaire en offrant une solution gagnant-gagnant pour les commerçants et les utilisateurs. Plutôt que de les jeter, les commerçants proposent leurs invendus à petits prix. L’internaute choisit son magasin à l’aide de l’application mobile et réserve un panier surprise qu’il récupère sur place. Boulangeries (La Talemelerie, Paul, Les Générations…), traiteurs (Origin’Halles, Digi’Pasta), épicerie (Al Dente) mais aussi restaurateurs (Big Fernand, O Wasabi, Pause Bio, Picual…), en tout une quarantaine de commerçants ont accepté de jouer le jeu dans l’agglomération grenobloise. En quatre mois, ils ont “sauvé” 1 200 repas.

Le caviste la "Cavavin" a ouvert, en juin, place de Metz, à Grenoble, à deux pas de la rue de Strasbourg et de ses commerces de bouche. Tenue par Bruno Giraudel, la boutique propose sur 50 m^₂ une large gamme de vins de toutes les régions de France, mais aussi d’Europe et du Nouveau Monde ainsi que des whiskies, rhums et autres spiritueux.

Porté par le CTP (Centre technique du papier) de Grenoble, le projet européen Sherpack a démarré en juin. L’objectif est de développer un matériau d’emballage flexible à base de papier, qui soit à la fois renouvelable, biodégradable et recyclable, dans le but de remplacer les matériaux tels que les films< plastique ou aluminium. Les marchés visés sont ceux des aliments secs. Un consortium de six partenaires (trois industriels et trois centres de recherche), issus de cinq pays européens, a reçu un financement du BBI JU, le partenariat publicprivé des industriels du biosourcé. Le projet devrait aboutir en 2021.

Le groupe Serfim (CA 2016 : 300 M€ ; 2 000 salariés ; siège à Vénissieux), spécialisé dans les travaux publics, l’environnement, les TIC et l’immobilier, a acquis les sociétés Bentin (Aulnay-sous-Bois) et Caratelli (CA 2016 : 23 M€ ; 80 salariés ; Crolles). Fondée en 1972, Caratelli est spécialisée dans l’industrie, les travaux en montagne, la radioprotection et la chimie.

Le groupe Allimand à Rives (CA 2017 : 50 M€ ; 300 salariés) a livré simultanément deux machines à papier à très haute valeur ajoutée à Huafeng, l’un de ses clients chinois historiques. Plus performantes que ses trois machines précédemment livrées, elles prennent place dans un nouveau site près de Hangzhou, où l’industriel envisage d’installer six lignes complètes de machines à papier.

Les fonctions de président du conseil d’administration et de directeur général de Soitec, leader mondial de la conception et de la production de matériaux semi-conducteurs innovants, sont désormais dissociées. Dirigeante reconnue dans l’industrie, Victoire de Margerie a été élue fin juillet présidente du conseil d’administration. Quant à Paul Boudre, qui cumulait depuis septembre 2015 les deux fonctions le temps du retournement de l’entreprise, il continue d’assurer la direction exécutive de Soitec en qualité de directeur général.

François Heid, 50 ans, a travaillé aussi bien au sein des entreprises que dans l’univers des collectivités, sur des problématiques économiques et des dynamiques territoriales, dernièrement au parc Vulcania, où il était directeur commercial, marketing et communication. Ce diplômé de l’école de commerce de Poitiers ambitionne de conforter le rôle d’Alpexpo en tant qu’outil au service du territoire, sur le plan économique, mais aussi pour la vie sociale et culturelle, ainsi que pour l’image de la ville, dans un contexte très concurrentiel”. Attaché à renforcer les synergies avec les acteurs des congrès et de l’événement (MICE), François Heid veut accroître et diversifier l’offre de salons d’Alpexpo, tout en amplifiant le succès des événements récemment mis en place ou remaniés : Salon de printemps, Mountain Planet, etc.